Bonne année à tous ! Et comment avez-vous accueilli la nouvelle année ? Une soirée en ville ? Un feu d’artifice ? Ou une nuit confortable à observer toute l’action à travers votre téléviseur ? À jouer sur votre machine à sous préférées ?

Nous savons comment nous, les Canadiens, avons tendance à célébrer le Nouvel An, mais qu’en est-il des 6 autres milliards d’habitants de notre petit caillou spatial ? Quelles sont les célébrations inhabituelles du Nouvel An dans le monde ?

Des bouffonneries d’ours roumains à des traditions sud-américaines inhabituelles, nous allons faire un tour d’horizon du Nouvel An dans le monde, pour voir comment différents pays et cultures marquent leur propre nouveau départ.

LES DANOIS FONT DE LA CASSE

Ce sont généralement les Grecs qui aiment casser une assiette, mais il existe une tradition similaire, mais moins connue au Danemark. Si vous entendez un tapage le 31 décembre et que vous trouvez de la vaisselle cassée sur le pas de votre porte, ne vous fâchez pas. Quelqu’un vous a souhaité bonne chance pour l’année !

DES OURS PORTE-BONHEUR

Les ours occupent une place particulière dans la culture roumaine. Ce sont ces grosses brutes brunes qui sont censées éloigner le mal au tournant de l’année. Dans l’esprit du bien-être des animaux, ce sont les habitants qui se déguisent en ours, mais personne ne sait si cela trompe les démons. Par contre, on s’amuse comme des fous !

DE LA BOUFFE POUR LA CHANCE

On dit que le chemin qui mène au cœur d’un homme passe par son estomac, mais apparemment, c’est aussi le chemin de la prospérité. En Espagne, la tradition veut que l’on mange un raisin pour chaque coup de minuit le soir du Nouvel An, ce que l’on appelle les 12 raisins de la chance (et aussi le titre du prochain film d’Indiana Jones). Au Brésil, les lentilles sont l’aliment de choix pour la chance. Je préfère la version espagnole.

LA PROMENADE DE LA VALISE

Sur le coup de minuit en Amérique latine, quelques aventuriers pleins d’espoir sortent leurs valises vides et font le tour du quartier. Apparemment, c’est censé porter chance à vos voyages. Ça m’apparaît une bonne idée ! Je reviens dans une seconde, je vais juste donner un tour à ma Samsonite.

L’ÉQUATEUR MET SES ENNEMIS AU BÛCHER

Pour que les pires moments de l’année ne soient pas oubliés, les Équatoriens brûlent les effigies des personnes qui ont gâché leur année, afin qu’ils puissent recommencer à zéro. Vous pouvez trouver des poupées à l’effigie de politiciens en ligne ! Le plaisir ne s’arrête pas là. Pour une raison quelconque, les hommes du village se déguisent en veuves imaginaires des méchants brûlés, à l’affût de dons et de sympathie.

BEWARE THE MASSES IN MARCH, YOUR MAJESTY

C’est l’heure d’une vieille histoire, mais une bonne, dans l’espoir de la faire revivre. Il y a environ 3 000 ans, les habitants de Babylone, aujourd’hui l’Irak, marquaient le début d’une nouvelle année le 23 mars, car ils estimaient que le printemps était un meilleur départ que l’hiver. Astucieux !

Pendant 11 jours de festivités, les Babyloniens ont dépouillé et exilé le roi, afin que la souris puisse jouer pendant que le chat était absent. Sa Majesté a été ramenée en habits royaux et la vie a repris son cours normal.

Vous aimez l’une de ces traditions du Nouvel An dans le monde ? Commencez à y penser tout de suite pour célébrer en grand la prochaine fois !

Aviva

Aviva est la directrice du contenu chez PlayOJO et écrit des blogs, des textes et tout ce qui concerne OJOey. Spécialiste de la rédaction et du marketing de contenu depuis plus de sept ans, elle stimule sa créativité en chantant, en dansant (dans son salon) et en riant le plus souvent possible.